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Mauro BACIARELLI

La parole de Dieu nous dit, que par la grâce de son fils Jésus Christ toutes choses deviennent nouvelles et que nous devenons de nouvelles créatures. Ma conversion a débuté à l’âge de 33 ans. Issu d’une famille italienne de cinq enfants catholique pratiquant les enseignements religieux. Je me souviens, dés l’âge de cinq ans, par la prière, la bonté de notre Seigneur ne tarde pas à se manifester, quelque  soit les demandes que je lui adressais il m’exauçait. Ces instants de bénédiction, ont suscité un grand désir dans mon cœur de le servir en devenant prêtre et à mes yeux d’enfant, il était la représentation même du serviteur de Dieu. Assez rapidement, je suis devenu enfant de cœur et ceci a renforcé mon appétence à le servir, de jours en jours mon amour pour Lui allait en grandissant. De gros problèmes ont surgi dans ma vie, à tel point qu’il n’y avait pas une seule année où je n’étais pas touché par des maladies graves ou par des accidents (pendaison, brûlures,…) Puis à l’âge de neuf ans nous avons quitté notre pays pour venir nous installer en France, éloigné de ma culture, des prêtres au milieu desquels je baignais, je vivais au quotidien une angoisse quasi permanente : « Que va t-il encore m’arriver cette année ? » Les problèmes ont continué, j’ai aussi connu la mort et la résurrection. Au fil des années je suis devenu comme des milliers de jeunes chrétiens catholiques de nom, l’adolescence est là et elle ne nous épargne pas avec ses changements, les révoltes, les désirs, les peines, les questions… Je me souviens encore de cette phrase que j’élevais vers Dieu : « A quoi sert t-il à un homme de naître sur cette terre, pour y souffrir, et ensuite pour y mourir ? » Quelle tristesse! A l’âge de 19 ans, la mort vint frapper notre famille, par le décès de mon papa, avec toute la connaissance religieuse qui m’avait été inculquée, j’ai élevé une fois de plus mes complaintes vers Dieu « Si tu étais Dieu et si tu existais vraiment, tu n’aurais jamais permis que mon père meurt ! » Délibérément dés ce jour j’établissais une séparation entre Dieu et moi-même en lui adressant ceci : « Tu n’existes pas ! » Ce fut le commencement d’une vie sans Dieu dans les douleurs et les souffrances. La culpabilité vint me frapper je me sentais responsable de la mort de mon papa et toutes les nuits dans mes rêves j’étais   assailli   par   cet   esprit   de  culpabilité.
Je me suis marié sans Dieu, premier échec, commencement des conflits dans le couple et quand tout va mal le reste suit : la famille (parti pris des deux côtés), les amis, le travail et bien sûre les problèmes ne vont pas en s’améliorant bien au contraire, la santé continue à en prendre un coup. Mal compris par mon entourage je ne trouvais point d’appui, tout se déstabilisait autour de moi et dans mon esprit, l’isolement me conduisit vers la dépression. Sur le conseil d’une amie, je me suis rendu auprès d’un acupuncteur pour qu’il me vienne en aide et les séances me semblaient bénéfiques. Quelques temps plus tard, j’ai pris conscience que j’étais dépendant de cette pratique ‘’l’acupuncture’’. Mais, et je veux insister sur ce « Mais », toutes les années à la même période la dépression ce que les psychiatres appellent  ‘’ Maladie de l’âme’’ pointait à nouveau son nez et une solution devait être rapidement trouvée. Un jour de séance j’ai posé cette question au thérapeute : « Pourriez-vous m’expliquer pourquoi chaque année j’ai besoin de vos services ? » Il me répondit : « C’est tout simple, voyez-vous cette fenêtre ? Les rayons du soleil passent aux travers des rideaux, si je les écarte,  ne trouvez-vous pas que ses rayons éclairent d’avantage la pièce ? Si vous avez besoin de moi, c’est parce que vous avez mis une séparation entre Dieu et vous-même. Il faut que vous ôtiez ce voile qui est représenté par les rideaux et vous recevrez pleinement sa lumière qui vous donnera la guérison et rétablira bien des choses en vous. » Je lui dis : Comment faut-il faire ? Et il me répondit : « Cherchez-le ! » A ce moment même j’ai pris conscience  que le seul moyen de le trouver était de lire la Bible mais, où trouver une Bible ? J’étais persuadé dans mon cœur  que je ne la trouverai pas dans une religion, alors j’ai commencé à nouveau à m’adresser à Dieu avec un cœur d’enfant de cinq ans. Un jour en rendant visite à ma maman, j’étais comme attiré dans ma chambre d’enfant et là j’ai pu voir une bible sur la table de nuit. Aussitôt j’ai demandé à qui elle appartenait, maman me dit : « Je ne savais même pas qu’il y avait une bible dans cette maison ! » Pendant environ un an et demi j’ai lu cette Parole de Dieu sans qu’il se passe quoi que ce soit dans ma vie, la seule chose qui m’interpellait, c’était la souffrance de Jésus Christ qu’il avait portée pour moi sur la croix, je n’arrivais pas à réaliser dans mon cœur que Jésus c’est fait malédiction, péché pour moi. Mais  quand Dieu a décidé le moment Il agit ! Je me suis trouvé à nouveau à l’hôpital, un matin en mettant mon pull, j’ai fait un décollement spontané d’un poumon. Le Seigneur s’est servi de cet incident de parcours, (qualificatif qui est donné par les médecins) au travers de cette douleur constante et insupportable, pour  me  conduire  auprès de  son  fils Jésus Christ afin que je prenne  conscience, qu’il n’y avait rien de comparable à la souffrance qu’il avait subi  pour moi à la croix. Une semaine plus tard, en convalescence chez ma maman, j’ai crié au Seigneur, en lui exprimant  que j’en avais assez de vivre dans cet état de mal être, et que ma vie depuis l’âge de cinq ans, n’était faite que de souffrances et d’échecs. Je l’invitais donc à venir dans ma vie.
Au même moment une voix qui venait à la fois de partout et de nul part ailleurs  me dit : « Si tu veux que ta vie change et que la paix soit dans ton cœur, il n’y a qu’une seule chose à faire, pardonnes ceux et celles qui t’ont fait du mal. » J’ai ouvert mon cœur à Jésus et lui ai dit : « s’il n’y a que cela pour que ma vie enfin change, je les pardonne. » A l’instant même, j’ai goûté à la promesse de Dieu qui ne s’est pas fait attendre par son pardon, j’ai pu ressentir sa présence vivre en moi, j’étais un homme perdu, sans Dieu, pécheur désespéré, allant droit au jugement, sans espoir de retour. Je me suis retrouvé à genoux, les yeux remplis de larmes, j’ai  confessé mes péchés à Jésus Christ et lui ai demandé pardon. Il a pardonné mes péchés, j’ai été saisi par la puissance du Saint Esprit qui a opéré une délivrance intérieure, mes chaînes sont tombées, j’ai été réconcilié avec Dieu par Jésus Christ et Il m’a rendu LIBRE DE TOUT ESCLAVAGE. A cette époque j’ignorai complètement que d’autres personnes avaient pu vivre et réaliser la même expérience. Quelques semaines plus tard le Seigneur m’a conduit vers des chrétiens Evangéliques qui se réunissaient à trente mètres de la maison de ma maman. Un an plus tard, je me suis fait baptiser d’eau et Christ est ma vie.

Vous qui lisez ce récit, je peux vous affirmer, que j’ai été saisi par la parole vivante de l’Evangile, qui est une puissance de Dieu pour : « Publier, proclamer, guérir, délivrer, libérer »  tous ceux qui croient à son fils Jésus Christ.
Dans l’Evangile de Jean ch. 14, v. 5 Jésus nous dit : 
« Moi je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » Il nous conduit hors de l’impasse, dans laquelle nous nous sommes fourvoyés par notre péché. A la croix, Il nous a frayé le chemin vers Dieu en portant nos péchés en son corps, péchés à cause desquels nous méritions la mort éternelle.
Aujourd’hui j’ai fais cette expérience en l’acceptant dans ma vie. Je puis affirmer qu’il ne déçoit jamais !
Jésus-christ apaise toutes douleurs dans notre cœur et dans notre vie !
Cherchez-vous une voie qui vous mènera sûrement au seul but valable ?
Aspirez-vous à la vérité et à un sens pour votre vie ?
Lisez donc la Bible ! Elle montre Jésus, demandez-lui qu’il vous prenne par la main pour vous conduire au but.
  
JESUS CHRIST
M’A SAUVE
TRANSFORME GUERI
PAR  LA PUISSANCE
DE L’EVANGILE
  
Je ne connais personne qui est fier de sa vie passée, quand on a rencontré Jésus.
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