Deut. 11. 13 à 32
Jésus nous dit dans Jean 8. 32 : vous connaîtrez la vérité et la vérité vous (affranchira) rendra libres.
Le Carnaval et sa signification
Le mot "carnaval" vient du mot italien (genois) "carneleva" signifiant "enlève chair" et a conservé son étymologie latine "carnis levare", c’est-à-dire "enlever, ôter la viande, la chair".
Le Carnaval et son histoire
Pendant cette période on inversait les rangs sociaux : les maîtres devenaient esclaves et les esclaves devenaient maîtres, un homme du peuple prenait la place du roi qui lui était traité comme un mendiant et pendant une période de 5 jours.
Les origines d'un tel comportement sont très lointaines et datent de plusieurs millénaires. On racontent qu'à Babylone, il y a 2000 ans avant Jésus-Christ, on observait déjà les rites du Carnaval et ceci a évolué au fil du temps :
- Au Moyen-Age on dansait dans l'église, on chantait la messe à l'envers, les riches se déguisaient en pauvres et les pauvres se déguisaient en riches, les adultes se déguisaient en enfants et les enfants se déguisaient en adultes.
- Sous la Révolution française le Carnaval fut interdit; en 1796 on le remplaça par une fête révolutionnaire.
- A la Renaissance les Catholiques jeûnaient durant le carême.
- A la Belle Epoque on descendait dans les rues pour admirer les chars décorés et les gens déguisés.
Les manifestations sont spécifiques à chaque civilisation, mais on conserve cette notion de bouleversement des rôles et des statuts sociaux.
Où se situe mon identité ?
Quand je songe à ce mot, je songe aux Hébreux, impatients lorsque Moïse est monté sur la montagne.
Ils se jettent alors comme un seul homme sur ce pauvre Aaron qui leur fabrique un dieu que l'on puisse voir, un dieu à leur image, un dieu humaniste. Ensuite, le peuple se lève pour se divertir.
Un peuple hébreu déguisé, (Synonymes : masqué, dissimulé, voilé, sournois, faux, hypocrite, fourbe, insidieux imposteur, personnel…) avec tout son brouhaha et dans une confusion joyeuse, comme on dit, complètement, à côté de la plaque,
Le carnaval, évidemment c'est une fête païenne,. Mais c'est une fête de la chair, la chair se réjouit, d’être dans la peau d’un autre, en bref, c'est le bazar ! (combien de morts on déplore chaque année au Brésil?)
Il n'est pas mal sain de se réjouir. Il est mal sain de se réjouir ailleurs qu'en Dieu
Il nous faut être enthousiaste (Synonymes : inspiration, souffle, esprit, grâce) pour Dieu .
Chaque chrétien libéré va disposer d’éléments nécessaires afin qu’à son tour, il aide et instruise ceux et celles qui sont dans ces pièges, afin de les diriger à rentrer dans leur destinée.
Ce jeux de rôle, nous révèle divers aspects, qui sommeillent dans la personne :
L’orgueil
- L’orgueil, c’est voler à Dieu sa gloire,
- L’orgueil, nous empêche d’aller plus loin,
- L’orgueil, nous fait estimer d’être arrivé, donc on n’attend plus rien de Dieu
- L’orgueil, est la stupidité personnifié, il est l’opposé de l’intelligence,
- L’orgueil, est un appui, car l’orgueilleux est souvent complexé, alors il se déguise en se donnant
d’autres apparences,
- L’orgueil, n’est pas productif et comme il le sait, il compense se manque en faisant croire autour de
lui qu’il est quelqu’un et finit par se perdre lui même, en se prenant au sérieux,
Dieu est loin de nous quand on s’appuie sur la chair et non sur l’esprit.
L’envie et la jalousie
- On ne peut pas les dissocier ils se complètent
- L’envieux, n’est jamais satisfait de ce qu’il possède c’est ce qui le rend dans un esprit malheureux
- L’envieux, c’est un état passif, pour posséder il faut travailler,
- L’envieux, veux posséder sans peiner,
- L’envieux, ne connaît pas le Dieu d’abondance,
- L’envieux, convoite sans jamais posséder.
- Par les traits de caractères de l’envieux, la jalousie se lit sur son visage
- La jalousie, a les yeux fuyants, elle a besoin d’un masque,
- La jalousie, a des paroles amères et elle a besoin d’un vêtement d’emprunt,
- La jalousie, a besoin de rester toujours sur ses gardes pour affronter, si elle vient à croiser la justice.
Ex. 20. 17 : Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain; tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui soit à ton prochain.
Dieu a pour nous, tout ce dont nous avons besoin !
Ga. 5. 19 à 21 : Or, les oeuvres de la chair sont évidentes, c’est-à-dire inconduite, impureté, débauche, 20 idolâtrie, magie, hostilités, discorde, jalousie, fureurs, rivalités, divisions, partis-pris, 21 envie, ivrognerie, orgies, et choses semblables. Je vous préviens comme je l’ai déjà fais: ceux qui se livrent à de telles pratiques n’hériteront pas du royaume de Dieu.
Toute personne qui est lié par l’envie, ne peut en aucun cas accomplir l’œuvre de sa destinée et s’emparer des promesses que Dieu lui a réservée.
Le mensonge
- Le mensonge, nous empêche d’arrêter de pécher,
- Le mensonge a pour père le diable.
L’avarice
- L’avarice, ne se considère jamais riche, elle se plaint toujours par crainte d’être sollicitée, alors elle vit au dessous de ses moyens pour dissimuler et augmenter sa fortune.
- L’avarice, freine l’œuvre de Dieu,
- L’avarice, ne freine pas son Carnaval.
- Ce sont autant de pièges qui empêche le réveil de venir dans ma vie et dans mon Pays.
Que faut-il faire quand Dieu nous fait prendre conscience de ces transgressions envers Lui et aux hommes, si nous leurs avons porté préjudice ?
- Se repentir ; demander pardon à Dieu et à celui ou celle que j’ai offensé
- Ordonner avec foi à cet esprit ou ces esprits de tourments, de vous quitter et ne jamais plus revenir au nom de Jésus.
